Certifier les stagiaires : Le "dur travail" voire le "sale boulot" du formateur en établissement scolaire
Type de référence
Date
2017Langue de la référence
FrançaisRésumé
Cette recherche présente, à partir de l’analyse du contenu des entretiens menés auprès de 15 formateurs de terrain engagés dans la formation des futurs enseignants pour le secondaire obligatoire, la manière dont ils conçoivent leur rôle de formateur et d’évaluateur des pratiques enseignantes. Les résultats montrent qu’ils valorisent le travail de formation et non celui de certification. Cette dernière apparaît comme le « dur travail », voire le « sale boulot » de leur métier. Ils envisagent dès lors des alternatives au dispositif d’évaluation des stages dans lequel ils sont engagés. Si pour certains, certifier les pratiques des stagiaires est à bannir voire à déléguer, pour d’autres, cette tâche est à partager.
Résumé traduit en anglais
Our study explores how mentors think about their responsibilities in teaching practice training and assessment. 15 mentors based in different secondary schools were interviewed. Content analysis of interviews reveal that mentors value constructive feedback as a core element of their profession. They perceive teacher certification as « hard work » or « dirty work ». As a result, they suggest rethinking of the current assessment system to minimize this « hard or dirty work ». Some mentors would like to do away with or to delegate trainee certification to colleagues involved in the assessment system. Other mentors consider sharing this task with the latter.Titre du périodique
PhronesisMaison d’édition
BrillPays d'édition
Pays-Basp-ISSN
0031-8868e-ISSN
1568-5284Evaluation par les pairs (peer reviewing)
ouiPortée nationale / internationale
internationaleVolume / tome
4Fascicule
6Pagination
71-84URL permanente ORFEE
http://hdl.handle.net/20.500.12162/523La publication existe uniquement sous forme électronique
oui- Tout ORFEE
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