Sentiment d’efficacité personnelle: enjeux épistémologiques et pratiques pour la réussite
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Type de référence
Date
2016Langue de la référence
FrançaisEntité(s) de recherche
Résumé
Assis, bien sagement, sur une chaise toute la journée, sans bouger… si certaines disciplines sont plus propices aux mouvements corporels (sport, danse, arts scéniques, etc.), d’autres, en revanche, sont souvent réduites aux processus cognitifs (Favre & Garcia, 2003). Seuls les mouvements de la pensée comptent pour apprendre. Certes, l’élève bouge en classe pour se déplacer d’un atelier à l’autre ou pour effectuer un travail de groupe. Cependant, le corps n’est pas toujours considéré comme un élément par lequel l’apprentissage peut passer. Il peut être actif sans avoir un impact sur l’activité cognitive. En fonction de la théorie d’apprentissage, il peut jouer un rôle plus ou moins grand dans le but de travailler à un certain niveau cognitif (Anderson & Krathwohl, 2001) ou conatif. Cette contribution propose de montrer le lien entre corps et esprit en fonction de quelques théories d’apprentissage. Elle s’inscrit dans une approche sociocognitive (Bandura, 1986) pour revisiter la place du corps à l’école dans le but d’accroître le sentiment d’efficacité personnelle de l’élève (Bandura, 1997/2007 ; Puozzo Capron, 2014).
Titre du périodique
Revue EPSMaison d’édition
Editions Revue EPSPays d'édition
Francep-ISSN
0245-8969Volume / tome
83Pagination
69-72URL permanente ORFEE
http://hdl.handle.net/20.500.12162/242Document(s) associé(s) à la référence
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