Couderette, MichèleMichèleCouderetteAmade-Escot, ChantalChantalAmade-EscotLeutenegger, FranciaFranciaLeutenegger2018-11-082018-11-082018-11-082016http://hdl.handle.net/20.500.12162/1916Cet article rend compte des premiers résultats d’une recherche doctorale portant sur le devenir d’une ingénierie didactique élaborée au COREM dans les années 80, relative à l’introduction de la soustraction au premier du cycle du primaire (Berté, 1996) dans des systèmes didactiques se différenciant par le niveau d’expérience des enseignantes. Nous ne présenterons qu’une partie de nos résultats relative à l’analyse comparative de deux systèmes didactiques se différenciant par une expérience inégale en enseignement des enseignantes. Notre recherche montre, sur l'analyse de deux étapes décisives de l'ingénierie, qu’une ingénierie didactique aussi bien décrite soit-elle ne peut être facilement mis en œuvre dans des classes sans une formation ou un accompagnement approfondi, tant sur le plan mathématiques (les enjeux épistémiques sous-jacent au savoir relatif à la soustraction) que sur le plan didactique (la gestion des situations, des milieux et des contrats produits par l’introduction de l’ingénierie broussaldienne, au fil des régulations en classe).frImplémentation d'une ingénierie didactique dans des classes ordinaires : vers une évolution de la pratique professionnelle.Type de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale