Tschopp, GenevièveGenevièveTschopp2019-02-062019-02-062018-11-30http://hdl.handle.net/20.500.12162/2592Nous nous intéressons aux pratiques d’écriture en situation professionnelles (Cros, Lafortune, Morisse, 2009) des enseignant·e·s des degrés primaires, en particulier les pratiques de type journal de bord. Au cours de leur formation initiale, la pratique réflexive (Perrenoud, 2001) est stimulée et exigée, et elle s’exprime notamment par la forme écrite. Lors de leur carrière, les enseignant·e·s semblent peu faire recours à l’écriture journal de bord alors que celle-ci est attendue en formation initiale notamment à la Haute École Pédagogique du canton de Vaud avec une visée d’auto-formation (Tschopp, 2017). Nous souhaitons par des entretiens biographiques et d’explicitations approcher l’expérience singulière des personnes qui ont intégré cette modalité d’écriture à leurs gestes professionnels. La question centrale de notre recherche sera : Qu’apporte l’écriture spontanée aux enseignant·e·s sur le plan du développement professionnel et du pouvoir d’agir en particulier et comment celle-ci s’est-elle mise en place et évolue-t-elle ? Notre communication découvrira une partie des apports conceptuels et de notre revue de littérature en lien avec notre problématique et dépliera notre méthodologie de recherche et d’analyse. Mots-clés : journal de bord – développement professionnel – pouvoir d’agir – entretiens de recherchefrSens de la pratique d’écriture narrative d’enseignant·e·s : du développement professionnel au pouvoir d’agirType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale