Shehu, MelisaMelisaShehuGilles, Jean-LucJean-LucGillesBieri, SorayaSorayaBieriEnnesser, SabineSabineEnnesserMolettieri, AntonioAntonioMolettieri2022-09-272022-09-112022-09-272022-04http://hdl.handle.net/20.500.12162/5917Évaluer une formation dans une visée qualitative et d’amélioration continue devient une priorité pour les entreprises (Gilibert et Gillet, 2010). En effet, les changements de comportements du personnel suite à la formation en milieu professionnel (évaluation du transfert) permettent aux entreprises d’obtenir un retour sur l’efficacité du dispositif de formation (Devos et Dumay, 2006). Plusieurs études ont montré que les entreprises reconnaissent la nécessité d’évaluer les formations, mais dans les faits la réalisation effective de pratiques d’évaluation du transfert est peu observée (Pottiez, 2017). Les études portant sur les quatre niveaux du modèle de Kirkpatrick (1959) très utilisé dans le monde de l’entreprise (Dunberry et Péchard, 2007), montrent que le niveau 3 qui évalue le transfert des apprentissages est l’un des moins évalués, notamment du fait des difficultés techniques et procédurales (Kennedy, Chyung, Winiecki & Brinkerhoff, 2013). Afin de faciliter le transfert des acquis de la formation, le cycle de Construction et de gestion qualité des évaluations du transfert (CGQET) (Gilles, Chochard, Berset, Bieri, El Guermaï, Graveline, Miserez et Rupp-Nantel, 2017) propose une procédure en 8 étapes avec une démarche qualité (De Souza, Chochard et Gilles, 2017). Notre communication présente la mise en place de ce cycle CGQET dans le cadre de l’évaluation de niveau 3 d’une formation menée au sein du Centre des Formations (CFor) du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) et ce, dans le but d’analyser l’impact de deux méthodes d’intervention visant à maximiser le transfert des acquis de la formation.frType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale