Fink, NadineNadineFink2019-01-222019-01-222017-02-09http://hdl.handle.net/20.500.12162/2299Le discours des historiens peut apparaître dans l’espace public comme une parole secondaire. La parole première est détenue par les médias et par les témoins auxquels ces mêmes médias servent de tribune. Ceci d’autant plus que le témoin est généralement perçu comme celui dont l’expérience permet de dire “comment c’était”. Cette configuration met en tension la mémoire portée par les acteurs du passé et l’histoire en tant que récit interprétatif de ce même passé.In public debates, the input of historians seems to play a subordinate role. Instead, the media and contemporary witnesses are proving the decisive factor, whereby the latter have gained great importance in the public view due to media exposure. Furthermore, contemporary witnesses are generally perceived as being those who can tell us “what it was really like” based on their experiences. This causes a tense relationship between contemporary witnesses’ memories of the past and history itself, being an interpreted narrative of the same past.frDidactique de l'histoirePublic HistoryCompétition - Le pouvoir des témoinsCompetition: The Power of Contemporary WitnessesType de référence::Article dans une revue professionnelle10.1515/phw-2017-83092197-6376