Weber, SergeSergeWeberOttet, FrançoisFrançoisOttetOppliger, SabineSabineOppliger2024-12-052024-12-052023-08-16http://hdl.handle.net/20.500.12162/7883Le corps de l’enseignant est souvent l’oublié de la formation des enseignants et enseignantes. Le postulat à l’origine de cette présentation du projet de recherche FNS RESPIRE est qu’une formation donnant une place au développement de la corporéité (la relation qu’une personne entretient avec son propre corps, avec le corps d’autres personnes et avec l’environnement (Johnson, 2008)) permet un développement de compétences professionnelles particulières. Ces compétences, à terme, sont incorporées dans des pratiques de formation ou d’enseignement. En EPS, où le corps apparaît comme un objet « naturel » de la discipline, la corporéité semble ouvrir le champ des formes de pratiques scolaires. L’atelier met en mouvement puis en discussion les participantes et participants, conformément aux champs d’action de l’innovation (Modèle OFSPO), tente de montrer le potentiel de changement que ce concept de corporéité suggère, tant dans les contenus, que l’organisation et les approches de la pratique sportive, ceci dans la perspective d’une réflexion sur les conditions du « transfert » selon André Gogol. Le projet FNS RESPIRE est innovant de par le fait qu’il : - étudie les principes de développement professionnel, de transfert et d’innovation, en demandant aux participantes et participants de s’impliquer dans un processus de « Communauté de Pratiques » (CdP), - tente d’éclairer une part peu visible des pratiques de formation et d’enseignement-apprentissage des formatrices et formateurs, - met en perspective le postulat de la corporéité (être attentif à son propre lien avec les objets à apprendre) potentiellement favorable au transfert de par sa nature incorporée et rendue visible par des pratiques et outils somato-réflexifsfrEducation physiqueLa place du corps en formationType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale