Rougemont, HéloïseHéloïseRougemontRougemont, AndréAndréRougemont2023-07-192023-07-192019-04-24http://hdl.handle.net/20.500.12162/6828Il est, aujourd’hui, avéré qu’un dialogue médical attentif et cohérent vis à vis de leurs représentations de la santé et de la maladie a des effets bénéfiques sur les conduites thérapeutiques des patients. Cet élément nous semble toutefois fréquemment évacué des préoccupations des acteurs de la santé et donc important à rappeler. Or, les messages de promotion de la santé et/ou de prévention de la maladie ne peuvent avoir de conséquences bénéfiques sur les jeunes enfants qu’à travers l’effet qu’ils occasionneront chez les parents. Ces conséquences dépendront donc des représentations nourries par les parents, lorsqu’ils seront sollicités par ces messages : représentations du savoir médical, de leur potentiel d’action, de la santé, de la maladie, de la norme, de la parentalité, du jeune enfant, etc. (Duruz, Schurmans, Lob, Martinez et Seferdjeli, 1997) Nous interrogerons donc la pluralité des représentations que peuvent rencontrer (ou pas !) les messages de prévention de la maladie et/ou de promotion de la santé auprès des parents. Pour ce faire, nous synthétiserons les divers modèles étiologiques et thérapeutiques (Laplantine, 1986), la pluralité des représentations de la médecine, de la parentalité et du jeune enfant. Nous en induirons quelques hypothèses, en termes de possibilités de réussite ou d’échec de ces messages.frRôle de la médecine et de la santé dans l’éducationType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale