Maitre, Jean-PhilippeJean-PhilippeMaitre2021-11-302021-11-302021-06-23http://hdl.handle.net/20.500.12162/5278Dans le courant des années 1980, Guy Brousseau, didacticien bordelais des mathématiques, développe la Théorie des Situations Didactiques. S’appliquant principalement à cette même discipline, cette théorie propose notamment de revoir la répartition des responsabilités pour l’apprentissage entre enseignant·e·s et élèves dans la salle de classe. Il s’agit alors de dépasser la conception d’un·e enseignant·e transmetteur·trice pour se diriger vers un·e enseignant·e concepteur·trice de situations d’apprentissage dont il pourrait - partiellement ! - se retirer, en assurant pour autant un apprentissage plus solide pour les élèves. Cette intervention oeuvrera d’abord à présenter brièvement cette théorie ainsi que des situations d’apprentissage pour l’illustrer. Dans le même temps, nous la mettrons en perspective avec des recherches plus récentes, parfois critique de cette théorie, et dont les propos sont répandus dans les communautés enseignantes (p.ex., l’enseignement explicite). Nous conclurons par un temps de présentation des forces, faiblesses, promesses et freins de ces différentes propositions.frSi ma séquence pouvait parler à mes élèves : les apports de la Théorie des Situations Didactiques dans l’enseignement des mathématiquesType de référence::Communications::Conférence grand public