Deschryver, NathalieNathalieDeschryver2024-10-242024-10-242023-06-19http://hdl.handle.net/20.500.12162/7822Il peut sembler surprenant pour certains de voir associé hybridation et éducation positive. C’est probablement que le concept d’hybridation est souvent compris est associé à la mise à distance et à l’utilisation des technologies, qui renvoient pour un certain nombre de personnes à des expériences plus ou moins positives vécues pendant la pandémie. Et pourtant l’hybridation développée de manière réfléchie dans une démarche d’ingénierie que l’on pourrait qualifier de dispositive, peut répondre à plusieurs enjeux actuels de l’enseignement supérieur, comme : exploiter au mieux le potentiel des technologies pour améliorer la qualité de l’expérience d’enseignement et d’apprentissage ; mieux accompagner les grands groupes (enjeu de massification) ; augmenter la flexibilité spatio-temporelle, notamment pour répondre à des be-soins de nouveaux publics apprenants en reconversion. On le voit, ces enjeux concernent la qualité de l’expérience d’apprentissage et de vie des apprenants. Ne s’agit-il pas aussi d’objectifs visés par l’éducation positive ? Lors de notre intervention, nous définirons et illustrerons ce que nous entendons par l’ingénierie dispositive de l’hybridation, dans le contexte de l’accompagnement des formateurs à la HEP Vaud.frL’ingénierie de l’hybridation, un outil possible pour soutenir l’éducation positive dans l’enseignement supérieur ?Type de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale