Zinguinian, MélinéMélinéZinguinian2019-01-312019-01-282019-01-312018-10http://hdl.handle.net/20.500.12162/2416Évaluer des compétences peut présenter des difficultés pour l’évaluateur (lire par exemple André, 2015 ; Perrenoud, 1996 ; Loarer, 2014 ; Lebel, 2007). Ces difficultés sont exacerbées lorsqu’il s’agit de signaler, à l’institution de formation, des insuffisances lors du stage. Le travail de certification des compétences du stagiaire en enseignement peut, dès lors, avoir un coût subjectif important pour l’évaluateur (Zinguinian et André, 2015). Une question se pose : comment réduire ce coût ? Dans le canton sur lequel porte cette étude, une partie des difficultés rencontrées par les évaluateurs peut renvoyer au dispositif d’évaluation lui-même. De ce fait, l’orientation prise a, entre autres, mené au développement d’un nouvel instrument d’évaluation, sous forme d’échelles descriptives. Ainsi, un groupe (composé de formateurs de terrain, de formateurs de l’institut de formation et de chercheurs) a réalisé ce travail et après plusieurs consultations (auprès des formateurs de terrain, de l’institution de formation et des étudiants), cet instrument a été mis en œuvre dans une phase pilote dont cette communication rend compte. Les données sur lesquelles l’analyse porte sont : la prise en notes des questions et commentaires exprimés par les utilisateurs avant qu’ils exploitent cet instrument, un questionnaire rempli par leur soin au terme de l’évaluation et les différentes notes attribuées aux stages. Elle vise à explorer la réception de cet instrument par les utilisateurs et l’effet sur les notes attribuées aux étudiants en stages.frType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale