Fargier, PatrickPatrickFargier2020-12-242020-12-242001http://hdl.handle.net/20.500.12162/4638La question du transfert est de celles qui embarrassent les théoriciens comme les praticiens de l’EPS. Les premiers ne l’abordent que relativement rarement. Ils ne paraissent en outre pas l’avoir résolue. Ainsi un article récent de D. Delignières, relatif à la théorie dynamique de l’apprentissage moteur, invite-t-il à envisager à nouveau la question1. Les seconds ont souvent tendance à affirmer que ce qu’ils enseignent en EPS a des effets au-delà de leur discipline. Ils sont généralement bien en peine pour spécifier ces effets, déterminer les acquisitions transférables que peut autoriser l’EPS et les moyens permettant ces acquisitions. Or, on peut avancer que la question du transfert est de celles qui pèsent au regard de l’Ecole. C’est ce que la première partie de cet écrit visera à expliciter. Il convient dès lors de s’intéresser aux raisons conduisant le monde de l’EPS à ne pas faire montre d’un grand intérêt pour le transfert. La seconde partie de cet article aura pour objet d’aider à leur spécification. Il s’agira, à terme, de s’enquérir du moyen de faire face au problème du transfert pour ce qui est de l’EPS.frEPSTransfert et EPS - A la recherche du transfert, pour l'EPSType de référence::Article dans une revue professionnelle