Skrivan Von Fellenberg, AnnikAnnikSkrivan Von FellenbergBenoit, ValérieValérieBenoit2023-06-202022-12-072023-06-202022-05-11http://hdl.handle.net/20.500.12162/6226Bien que les interventions punitives aient démontré leur inefficacité, notamment auprès des enfants et des adolescents présentant des difficultés récurrentes de comportement, elles ont toujours tendances à être surutilisées en contexte scolaire, particulièrement au secondaire. En contexte pandémique, ces interventions semblent redoubler, malgré qu’une dégradation de la santé mentale des adolescent·e·s s’observe, tout comme la perte de repères et du lien social. Si les interventions éducatives sont reconnues comme étant plus efficaces, c’est notamment par la création (ou la réactivation) du lien social et des relations positives qu’elles permettent mais aussi d’un rapport brisant une certaine verticalité pour ouvrir le questionnement d’un besoin de défier les règles. Afin de gérer autrement les comportements perturbateurs à l’origine de ces pratiques punitives, de permettre une ouverture sur l’altérité et la reconnaissance d’autrui et de favoriser le (ré)engagement des élèves, une équipe pédagogique d’un établissement scolaire secondaire en Suisse a cherché à innover en proposant une structure d’accueil permettant des interventions plus éducatives au travers d’une écoute active et d’une collaboration interdisciplinaire accrue. Cette communication vise à présenter les résultats exploratoires de cette innovation pédagogique basés sur un journal de bord et des entretiens avec les différents protagonistes.frRepenser la sanction au secondaire dans une visée éducative en recréant du lien socialType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale