Lebreton-Reinhard, MaudMaudLebreton-ReinhardLennert, LaurenceLaurenceLennert2020-11-012020-11-010013-113Xhttp://hdl.handle.net/20.500.12162/4390Revisiter nos classiques par la médiation des images, tel est le point de départ de ce projet d’établissement. À l’articulation du français, de l’histoire, des arts visuels, de la musique, des mitic, il s’agit de travailler la relation texte-image dans la perspective d’une performance théâtrale protéiforme. Quatre genres textuels sont retenus : le mythe, la légende, le conte. Quatre formes théâtrales différentes sont choisies pour guider la technique de mise en images et questionner de manière plurielle la relation texte-image : le kamishibaï, le théâtre d’ombres, le théâtre de marionnettes, la projection d’images sur écran interactif. Le processus de création fait dès lors de l’objet à produire le vecteur des apprentissages, notamment : - en déployant la littéralité du récit dans le travail de réécriture ; - en questionnant le récit pour explorer ses propres images mentales ; - en développant la pensée divergente pour concevoir les images comme autant d’unités narratives ; - en mettant en voix son travail en mobilisant son corps ; - en choisissant en conscience une/des techniques ; - en explorant le patrimoine de la littérature illustrée, l’intericonicité et l’intertextualité pour confronter et contextualiser ses choix ; - en expérimentant la collaboration entre différents acteurs et partenaires du projet ; - en invitant des illustrateurs, créateurs et en découvrant leur processus de création. Faire des choix parmi des possibles, envisager les différents effets de sens à produire, endosser tour à tour les rôles de créateur et de récepteur, le paradigme savoirs-compétences s’inverse puisque démarche réflexive et pensée créatrice constituent les moteurs des apprentissages. Ou comment se décentrer du texte pour mieux se l’approprier...frType de référence::Article dans une revue professionnelle