Maulini, OlivierOlivierMauliniCapitanescu Benetti, AndreeaAndreeaCapitanescu BenettiClénin, JulienJulienCléninPérisset, DanièleDanièlePérissetPerrenoud, OlivierOlivierPerrenoudProgin, LaetitiaLaetitiaProginSmania Marques, RobertaRobertaSmania MarquesVeuthey, CaroleCaroleVeuthey2018-04-252018-04-252018-04-2520161424-3946http://hdl.handle.net/20.500.12162/513Entre 2005 et 2015, l’école primaire genevoise a connu une période d’innovations structurelles présentée comme une «réorganisation» destinée à «améliorer la qualité de l’enseignement»: directions d’établissements, projets d’établissements, conseils d’établissements, réseau d’enseignement prioritaire. L’analyse des textes officiels et leur confrontation à l’évolution observable de ces changements fait émerger quatre critères effectifs de légitimation de l’action publique en matière d’éducation: le fait d’assurer la paix sociale, de satisfaire les enseignants, de convaincre politiquement, de transcender les discussions. Ces résultats montrent que les vertus symboliques de chaque mesure sont mises à l’épreuve d’une rationalité politique qui semble devoir, non seulement donner satisfaction à des intérêts sectoriels, mais aussi composer entre leurs attentes contradictoires.frDe la rhétorique de la qualité aux critères de la légitimité. Le cas de l’école primaire genevoise, 2005-2015Type de référence::Article dans une revue scientifique2624-8492