Loi Zedda, MaudeMaudeLoi Zedda2019-01-252019-01-252016http://hdl.handle.net/20.500.12162/2390Dans un contexte où le système scolaire québécois fait face à de nombreux changements (Tondreau, Robert, & Broudehoux, 2011), la résistance au changement doit être étudiée puisqu’elle contraint toute mise en place de ces derniers (Arcand, 2011). Le directeur d’école a un rôle central dans l’implantation de ces changements (Gravelle, 2012) et a l’obligation de les mettre en place, quel que soit son avis sur ces derniers (Cloutier, 2007). Aussi, tous les individus n’auraient pas les mêmes réactions à l’égard d’un changement et certains facteurs organisationnels et personnels auraient une influence sur la résistance au changement (Bareil, 2008). À cet égard, la littérature indique que des facteurs personnels tels que le leadership (Inandi, Tunc, & Gilic, 2013), le sentiment d’autoefficacité (McCullers & Bozeman, 2010) et la solitude professionnelle (Smith & Scott, 1990) représentent des caractéristiques susceptibles d’influencer la résistance au changement du directeur d’école. Cette recherche vise à contribuer à l’avancement des connaissances relatives aux causes de la résistance au changement dans le milieu de l’éducation et avoir un impact sur la formation des futurs directeurs d’école. Plus précisément, l’objectif de cette étude est de décrire la relation entre la résistance au changement des directeurs d’école et leur leadership ainsi que leurs sentiments d’autoefficacité et de solitude professionnelle.frVers une meilleure compréhension de la résistance au changement des directeurs d’écoleType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale