Garcia Perez, MyriamMyriamGarcia Perez2022-12-122022-12-122021-05-04http://hdl.handle.net/20.500.12162/6241D’après Landry, Bouchard et Pagé (2012), plusieurs recherches montrent que la qualité et la quantité du jeu de faire-semblant des enfants s’est dégradée. Par ailleurs, assez rares sont les professionnels travaillant auprès de jeunes enfants à se dire outillés pour étayer ce jeu de manière à le faire évoluer vers sa forme mature. Les enseignantes tendent ainsi à privilégier un enseignement systématique plutôt que des situations d’apprentissage basées sur le jeu (Duval & Bouchard, 2013). Il faut aussi noter qu’en Suisse, l’âge de la scolarité obligatoire a été abaissé de 6 à 4 ans, et le nouveau plan d’études romand ne fait quasiment pas mention du jeu comme une pratique à employer dans les classes (PER, 2010). Enfin, à tout cela s’ajoute la diversité des expériences éducatives des jeunes enfants entrant en première année d’école: garde par les grands-parents, chez une accueillante en milieu familial, dans une structure d’accueil préscolaire municipale ou privée, dans un espace d’accueil parent-enfant, ou encore usage d’offres d’encouragement précoce. Les classes de première année sont donc très hétérogènes. Dans un tel contexte, comment accompagner les enfants efficacement dans l’acquisition des gains développementaux fondamentaux qui se développent à travers le jeu mature ? Cette contribution prendra la forme d’un pecha kucha et tentera de faire l’état des lieux des idées de projet de thèse autour de la thématique de l’entrée dans les apprentissages fondamentaux de tous les enfants en 1H via le jeu.frEntrée dans les apprentissages scolaires via le jeu de faire-semblant en 1-2P : Des conceptions entretenues par les enseignantes à l'engagement des élèves dans leurs apprentissagesType de référence::Communications::Communication scientifique non publiée::Communication orale