Repenser l’enseignement des temps du passé à l’aide de la notion d’articulation.
Auteur(s)
Type
Chapitre d'un livre collectif
Date de publication
2022-04-02
Langue de la référence
Français
Entité HEP
Résumé
La présente contribution s’insère dans un projet plus large intitulé Principes d'une didactique fondamentale de la grammaire ; analyse de la situation en Suisse romande, expérimentation de dispositifs innovants et réexamen du statut de la transposition des objets grammaticaux . Elle interroge les contenus relatifs à l’enseignement de l’usage des temps dits du passé dans les textes, à partir de l’explicitation de la dynamique d’articulation entre les phénomènes de langue et les phénomènes textuels et poursuit trois grands objectifs :
1. Du point de vue des savoirs savants, nous souhaitons établir une carte conceptuelle autour de la valeur des temps du passé. Du point de vue des savoirs potentiellement à enseigner, nous rendons compte aussi de « l’hybridité » de cet objet, c’est-à-dire de ses composantes, de son inscription dans les différents volets du français, des articulations effectives ou possibles.
2. À partir d’analyses antérieures (Gagnon, 2013 ; Gagnon, Erard & Laenzlinger, 2017) et d’une analyse d’un corpus de textes issu de la récolte de données de pratiques courantes, nous cernons les problèmes des élèves du début du secondaire relativement à l’usage des temps du passé dans les textes.
3. Sur la base de ces deux ensembles d’analyses, nous sommes ensuite en mesure de proposer un réseau de concepts opératoires, sur la base d’une sélection d’objets d’enseignement et d’objectifs d’apprentissages adaptés aux élèves du premier cycle de secondaire. Nous jetons ainsi les bases pour l’élaboration de séquences d’enseignement pour ce degré.
1. Du point de vue des savoirs savants, nous souhaitons établir une carte conceptuelle autour de la valeur des temps du passé. Du point de vue des savoirs potentiellement à enseigner, nous rendons compte aussi de « l’hybridité » de cet objet, c’est-à-dire de ses composantes, de son inscription dans les différents volets du français, des articulations effectives ou possibles.
2. À partir d’analyses antérieures (Gagnon, 2013 ; Gagnon, Erard & Laenzlinger, 2017) et d’une analyse d’un corpus de textes issu de la récolte de données de pratiques courantes, nous cernons les problèmes des élèves du début du secondaire relativement à l’usage des temps du passé dans les textes.
3. Sur la base de ces deux ensembles d’analyses, nous sommes ensuite en mesure de proposer un réseau de concepts opératoires, sur la base d’une sélection d’objets d’enseignement et d’objectifs d’apprentissages adaptés aux élèves du premier cycle de secondaire. Nous jetons ainsi les bases pour l’élaboration de séquences d’enseignement pour ce degré.
Maison d’édition
Presses universitaires de Namur
Ville d'édition
Namur
Pays d'édition
Belgique
Collection
AIRDF
Peer Reviewed
Portée (nationale / internationale)
Internationale
Pagination
135-156
Historique des versions
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| Version | Date | Résumé |
|---|---|---|
3* | 2022-09-21 13:20:03 | publication publiée |
* Version sélectionnée